HP continue d’accompagner la transformation des usages en entreprise

L’intelligence artificielle, puissant levier d’efficacité

Quatrième grande révolution industrielle après la mécanisation, l’électrification et la numérisation, l’intelligence artificielle trouve désormais des applications concrètes dans nombre de secteurs. L’IA permet aux organisations d’accélérer l’innovation, de s’abstraire de tâches répétitives et fastidieuses et d’apporter davantage de valeur.

Ses usages sont multiples dans différents secteurs et métiers : automatisation du support client, gestion des candidatures, génération de contenus marketing, anticipation des besoins opérationnels ou encore optimisation de la supply chain. Au-delà des cas d’usage, l’IA a la capacité de s’adapter à l’utilisateur, et permet de gagner du temps grâce à l’automatisation des tâches chronophages. Elle libère le temps des collaborateurs pour leur donner la possibilité de se concentrer sur leur cœur de métier, tout en améliorant la qualité de vie au travail – un critère devenu central selon le Work Relationship Index. 87 % des salariés dans le monde se disent prêts à renoncer à une partie de leur rémunération en échange d’une expérience professionnelle plus personnalisée et flexible. Toujours d’après cette étude, 60 % des collaborateurs français estiment que l’IA joue un rôle clé dans leur équilibre vie pro/vie perso, car elle permet non seulement de gagner en productivité, mais aussi de progresser en matière de personnalisation. Ce n’est plus l’employé qui s’adapte à la mission mais la mission qui s’adapte à l’employé.

Cette transformation rapide impose une stratégie claire, un accompagnement des collaborateurs et des équipements appropriés et sécurisés. HP rappelle à ses clients que ces trois conditions sont essentielles pour tirer pleinement parti des opportunités offertes par l’IA, malgré les défis soulevés par cette technologie.

L’enjeu de l’IA « locale » : allier sécurité et performance

Si l’intelligence artificielle s’impose dans les outils du quotidien, une autre tendance s’affirme : celle de l’IA exécutée localement. Ces solutions dites « on the edge » permettent de faire tourner l’IA et ses données directement sur les terminaux, et non sur le cloud. Une évolution loin d’être anodine, en réponse aux enjeux croissants de sécurité, de confidentialité, de souveraineté numérique et de réduction de la latence… Elle répond aussi à des impératifs business importants, performance, formation, mais également investissement en prévision de l’arrêt du support Windows 10, etc., et à des problématiques RH clés : fournir une expérience optimale aux employés.

Aujourd’hui, les constructeurs comme HP intègrent ainsi des fonctionnalités d’IA générative et des modèles de langage étendus (LLM) directement dans leurs équipements. Et c’est ici que la révolution technologique opère : cette approche présente trois avantages majeurs, à savoir une latence fortement réduite, des fonctionnalités de sécurité avancées (protection des données, sécurité embarquée, localisée, transparente) et une disponibilité continue (même hors ligne). Autant d’atouts appréciables dans un contexte de travail hybride où les équipes sont souvent dispersées géographiquement.

L’IA devient ainsi un outil technologique embarqué dans l’environnement de travail de plus en plus mobile, capable de s’adapter aux usages et de fluidifier les interactions. Au-delà de la performance, ces approches visent à optimiser l’usage des ressources IT, en tenant compte des contraintes énergétiques croissantes liées aux nouvelles technologies, dont l’IA.

Travailler autrement : l’IA locale, la réponse technologique au besoin de personnalisation

Le rapport au travail a changé, en particulier depuis la généralisation du télétravail et des modes de travail hybrides. Les attentes des employés vis-à-vis de l’environnement professionnel traversent une période d’évolutions rapides et difficiles à anticiper. En France, 3 salariés sur 5 recherchent notamment un environnement de travail davantage adapté à leurs besoins. Ainsi, la recherche de personnalisation mais aussi le besoin d’équilibre, l’épanouissement et la raison d’être au travers des missions confiées prennent de plus en plus d’importance. L’IA arrive donc à point nommé. Après une phase d’analyse des usages, elle devient proactive et anticipe les attentes du collaborateur. Elle peut également proposer des ajustements ou des recommandations en temps réel pour, par exemple, optimiser le travail à distance ou hiérarchiser les priorités.

Reste que la technologie, aussi performante soit-elle, ne suffit pas à elle seule. L’intégration de l’IA suppose un travail de fond sur la conduite du changement, la formation, l’éthique des algorithmes. L’enjeu est autant humain que technique : c’est dans l’alliance des deux, couplée à un accompagnement, que réside la clé d’une adoption réussie.